Ils apprécient le Process Communication Model®

 

 

Bill Clinton - 42nd President of the United States of America

Taibi Kahler is a genius.  He knows more about personality dynamics than anyone I know in the world. You have been a good friend and helpful advisor. I'll certainly let appropriate people know about your company when I see an opportunity.  I'm sure there are many out there who would benefit from your expertise. 

 

Franck Issan, Account manager, Avaya company

In 2005 I attended a Process Communication seminar with Gérard Collignon and I gathered precious advice. In my job, it is essential to maintain extended relationships with our 'Key accounts' and to listen to my contacts in these companies. I know it is frequently said yet it is true, why communication is not taught in schools!

I discovered there attending to people's psychological needs is key to maintaining an extended relationship with my customers and contacts. In practice I have found that with a Workaholic base or phase customer I show on my enthusiasm for his competencies and when I have to deal with a bad debtor who seems to have a Persister base or phase I highlight that for me trust is an important value in a relationship.

 

Hillary Rodham Clinton - 67th Secrétaire d'Etat des Etats-Unis

Le Process Communication Model® fournit un cadre pour évaluer l'information que quelqu'un souhaite communiquer et le meilleur moyen de le faire avec les différents destinataires de cette information.

 

Karine Pottier, chargée de formation, Bouygues Telecom

C'est durant un séminaire en Process Communication Model® que j'ai réalisé quelque chose d'important sur la façon de mener ma vie. Et en particulier ma vie personnelle. J'ai une base Travaillomane, une phase Rebelle et au 3ème étage Promoteur. Mes journées doivent être remplies!!Apès un exercice sur les besoins psychologiques je me suis rendue compte pour la première fois de ma vie que je ne laissais pas de place à ma vie familiale. Les week-ends étaient toujours remplis. Douze activités par jour, gardant l'oeil sur la montre pour ne pas perdre de temps. Les dimanche soir j'étais assez satisfaite. Peut-être étais-je la seule. Sartre disait "l'enfer, c'est les autres", eh bien pour ma famille, c'était moi. Sans aucun doute. J'avais confondu mes besoins avec les leurs. Quand je me suis rendue compte de cela, je me suis dit "arrête de remplir le vide". Maintenant, j'ai changé, je suis consciente de mon comportement et je porte plus d'attention aux besoins de ma famille. Au cours du processus j'ai remarqué qu'en effet leurs besoins n'étaient pas les miens et j'ai appris à être plus vigilante à les satisfaire. Je ne dis pas que cela a été facile.

 

Terence McGuire, M.D. - Lead Psychiatrist for Manned Space Flight, NASA, 1959-1996

I have known a number of "professional giants" in the fields of behavioural science and medicine, including Nobel Prize winners. But I am most grateful for what I have learned from my continued contact with Taibi Kahler. His Process Therapy Model revolutionizes how we understand, diagnose, and treat people in psychotherapy. His model is extremely valuable for predicting behaviour.

 

Christian Vandelet - Réalisateur de cinéma

J’ai utilisé les outils du Process Communication Model® pour travailler ou retravailler mes scénarios.

La première fois dont je me souvienne, c’était sur un scénario de comédie qui ne fonctionnait pas. A chaque fois que je le faisais lire les gens disaient que ce n’était pas crédible et que c’était impossible de s’identifier aux personnages.

Jérôme est un ami et je lui ai demandé ce qu’il en pensait. Nous avons repris ensemble les personnages et un par un avons « fixé » leur profil base et phase. Je me suis ensuite appuyé sur leurs besoins psychologiques pour réécrire les scènes. A ma grande surprise et plus grand plaisir, ça ne me privait pas des gags que j’avais prévus comme je l’avais craint.  Ce qui a sensiblement changé ce sont les réactions les personnages et leur comportement au moment des échanges. Après ce travail de modifications une chaine de télé a dit OK pour s’engager financièrement sur la préproduction.

 

Isabelle Domenech – Responsable de département formation Groupe GMF

Le Process Communication Model® est, pour moi, un modèle simple d'utilisation et non, pour autant, simpliste puisqu'il respecte la diversité de l'être humain et lui donne la possibilité de progresser dans sa communication quel que soit son profil.
 
Ce modèle m'a permis de comprendre le fonctionnement de certains, très éloignés de moi, et de conserver ma "zénitude" face à de la mauvaise foi, colère ...J'ai pu développer le canal de communication de l'empathie en apprenant à moduler le ton de ma voix, à diminuer l'énergie, à élargir mon vocabulaire (utilisation d'un vocabulaire sensoriel: sentir, ressentir...) et aussi, en développant une vraie bienveillance.
 
Je suis devenue plus actrice de ma communication et j’ai pris du recul. J'ai identifié mes signaux de stress, l'impatience par exemple, et je les ai utilisés comme des indicateurs d'alerte qui me permettent d'agir pour me ressourcer lorsque je les identifie.

 

Marie Christine ANTONI, professeur de français depuis 1977 à l’École de Provence (collège et lycée) à Marseille.

 

Témoignage - Stratégie d’interaction à l’école primaire :

J’enseigne le français. Mon souci permanent est de bien communiquer avec mes élèves. Pour un professeur en charge de plusieurs classes de trente à trente-cinq élèves, il s’agit d’un défi. J’ai toujours cherché les moyens d’entrer en contact avec chaque élève, en pressentant que nous ne parlons pas tous le même langage. Depuis que j’ai découvert le Process Communication Model®, j’ai pu m’expliquer et même développer ce que je faisais d’instinct.

Quelques exemples individuels :

À Louis, un petit tendance rebelle retranché dans un refus passif, lors de la lecture d’un dialogue dans un roman, je propose de jouer comme un acteur telle ou telle réplique d’un personnage. Il se lève, il ose, toute la classe apprécie, plusieurs volontaires veulent lire…si c’est ça, la lecture !

Pour capter son attention, pour lui permettre d’accepter des règles strictes d’apprentissage, un mot surprenant ou à contre-pied, une proposition de jeu. Si je le rencontre dans le couloir, je joue : « Mais, je te connais, toi… tu ne serais pas Louis ? » Alors qu’on vient de se voir, il sait que je plaisante. Et dans ses bons jours, il est capable de me dire : « Moi, non !!! Vous vous trompez, je suis Jules. »

À Marie, une blondinette mâtinée empathique qui aime rendre service et me tend le billet d’absence à signer : « Merci, ma belle. Tu as assorti ton stylo à la couleur de ton pull. C’est joli ! » Une remarque sur l’élégance de son écriture, le soin de son travail. Et je sais que la leçon sur l’attribut du sujet passera mieux. Ou encore : « Que ressens-tu face à ce poème ? »

À Arthur, le rêveur aux yeux bleus : « Lis tranquillement ce texte. Prends le temps de réfléchir. Repère les pronoms personnels et souligne-les en bleu. » S’il n’est pas bousculé, il est probable qu’il atterrira. Et saura même préciser ce que chaque pronom remplace.

À Sophie, l’apprentie persévérante qui va au bout de ses idées : « Que penses-tu de ce personnage ? Crois-tu qu’il a raison de faire tel ou tel choix ? » Elle saura exprimer ses convictions.

À Lionel, le bientôt Travaillomane: « Si tu as fini ces exercices, tu peux t’entraîner en commençant le suivant ». Ou, si sa rédaction est terminée avant la fin du cours, il peut la rendre et je lui permets de réviser ses maths ou son contrôle d’anglais. Il ne s’énervera pas, n’aura pas l’impression de perdre son temps. Il sera content si je lui donne une fiche avec un tableau lui permettant de bien s’organiser dans son travail à la maison.

À Fabien, coloré Promoteur dans l’âme qui veut toujours se jeter à l’eau le premier, je propose, dans un groupe de recherche, d’organiser et de distribuer le travail, de mettre en scène ses camarades dans un extrait de théâtre.

Dans les sujets de devoirs ou de recherches que je fabrique, dans les leçons et les cours, j’essaie de varier le plus possible les approches afin que chacun s’y retrouve. Ce n’est pas facile. Il faut être en grande forme, mais c’est passionnant. Finalement, après trente et un ans d’enseignement, j’apprends chaque jour grâce à mes élèves.

Bien sûr, je ne cherche jamais à poser d’étiquettes. Je cherche, par expériences successives, ce qui ouvre les portes de l’attention, de la réflexion, de la confiance et surtout du plaisir d’apprendre.

 

 

Alice, TVTY

J'avais plein d'idées préconçues sur le Process Communication Model mais j'ai été extrêmement étonnée à quel point j'ai pu trouver les sessions intéressantes et pertinentes. En apprendre plus sur mon type de personnalité et celui de mon équipe fut comme un projecteur qui a mis en lumière des choses bien plus précises qu'attendues. Connaitre mes séquences de stress fut pour moi particulièrement utile et je m'amusais à les identifier après, en jouant au tennis avec mon équipe.

Jerome était dynamique, captivant et c’est vrai un plaisir de le côtoyer. Je recommende sans réserve Jerôme et le Process Communication Model à toute personne désireuse d’améliorer la communication et le travail au sein de son équipe.